Dans les négociations autour de la directive européenne relative à la lutte contre les violences faites aux femmes est débattue l’idée de fonder la définition du viol sur le consentement ou plutôt le non-consentement. Vraie ou fausse bonne idée ? Quelles seraient les conséquences sur la définition française du viol ? Faut-il modifier la définition pénale du viol pour lutter contre l’impunité en France et en Europe ?
Cette table ronde sera l’occasion d’échanger avec les intervenantes sur la question du consentement dans la qualification du viol et les conséquences pour les victimes
LES INTERVENANTES :
Yseline Fourtic Dutarde, Co-présidente d’Ensemble contre le sexisme
Emmanuelle Piet, Présidente du Collectif Féministe Contre le Viol
Alyssa Ahrabare, Vice-présidente de la CLEF
Céline Thiebault-Martinez, Présidente de la CLEF